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"Love Story" : Ali MacGraw, Ryan O''Neal

Télé. Le film d’Arthur Hiller « Love story » se passe à Harvard, la prestigieuse université américaine, où un étudiant en droit rencontre une jeune fille qui y travaille. Le garçon vient d’une lignée de banquiers très fortunés, elle est la fille d’un boulanger, originaire d’Italie. Ils vont s’aimer malgré le fossé qui les sépare, du à leur différence de classe. NOTRE AVIS  (***) : Un grand mélodrame façon Roméo et Juliette, qui a fait pleurer plusieurs générations, porté par Ali MacGraw, Ryan O’Neal et l’inoubliable musique de Francis Lai. A voir dimanche 17 juillet sur Arte -20:55.


« Love Story » sur Arte : un beau mélo et une légendaire histoire d’amour


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« Love Story » : un film d’Arthur Hiller sorti en 1970

L’HISTOIRE

Un jour, dans la bibliothèque de l’université d’ Harvard, un étudiant en droit Olivier Barrett (Ryan O’Neal) fait la connaissance d’une jeune fille, Jenny Cavalleri (Ali MacGraw) qui y travaille pour payer ses études de musique. La famille du garçon est composée d’une lignée de banquiers protestants, richissimes. Le père de la jeune fille est boulanger, catholique, il vient d’Italie. Contre l’avis du père d’Olivier, ils vont s’aimer, se marier. Jenny va travailler pour l’aider à terminer ses études et devenir avocat. Ils pourraient vivre un grand bonheur, mais Jenny va apprendre d’une leucémie. La vie, comme dans les romans, va en décider autrement. La fin de leur histoire est déchirante.



NOTRE AVIS (***)

« Love story » est un grand mélodrame, bien que construit sur un canevas hyper connu. Les classes sociales ont remplacé la haine des Capulet pour les Montaigu dans « Roméo et Juliette », mais tout y reste vraisemblable, très réussi. De bons dialogues « L’amour c’est n’avoir jamais à dire qu’on est désolé » et un final qui a fait pleurer plusieurs générations et qui restera un des plus dramatiques du cinéma: le tout soutenu par l’inoubliable musique de Francis Lai, couronnée d’un Oscar à Hollywood.



L’interprétation des jeunes acteurs est saisissante de vérité et Ray Milland, qui joue le père de Ryan O’Neal, est excellent. Il fut un grand artiste des années 1940-1950, et avait été choisi par Hitchcock pour « Le Crime était presque parfait ». Un beau film culte de 1970, à (re)découvrir avec les yeux des spectateurs d’aujourd’hui.

Jane Hoffmann

  • A voir : « Love story » d’Arthur Hiller avec Ryan O’Neal, Ali MacGraw, Ray Milland, Tommy Lee Jones, musique de Francis Lai sur ARTE dimanche 17 Juillet -21:00.

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