Télé. Pour bien commencer l’année 2021, CSTAR diffuse ce soir un documentaire exceptionnel sur la story d’enfer du légendaire AC/DC. Au menu des images rares, des témoignages inédits sur les quarante-cinq ans de création du groupe australien au hard-rock implacable, fondé par les frères Angus et Malcom Young. Un parcours d’enfer, à vivre lundi 4 janvier sur CSTAR – 21:00
Il était une fois à Sydney (Australie) deux frères fous de musique, Angus et Malcolm Young, lesquels fondèrent un groupe qui allait révolutionner l’histoire du rock, le mythique AC/DC. Quelques années plus tard, en 1979, la consécration est là avec « Highway to Hell » (l’Autoroute pour l’Enfer) qui deviendra un tube au succès planétaire phénoménal et l’ossature de leur légende.
Depuis AC/DC n’a cessé de rouler à fond la caisse sur cette « autoroute de l’enfer », enchaînant les enregistrements, dont le légendaire « Black in Black », deuxième album le plus vendu de tous les temps avec 50 millions d’exemplaires écoulés dans le monde, et les concerts gigantesques en plein air (souvenons-nous de celui de Moscou en 1991, où plus d’un million de fans sont venus les écouter).
Le documentaire de ce soir réalisé par Olivier Richard, retrace le parcours de la formation de hard-rock australienne créée il y a plus de 45 ans, avec des témoignages de Dave Evans, premier chanteur d’AC/DC, Chris Slade, batteur, les guitaristes Phil Campbell, ancien de « Motörhead » et Joe Satriani, et de spécialistes tels Philippe Lageat et Francis Zégut.
Petit rappel pour ceux qui n’auraient pas tout suivi. Les frères Young sont nés à Glasgow (Ecosse) et se sont installés avec leurs parents à Sydney en 1963. Dix ans plus tard, Malcolm fonde un groupe de rock dans lequel il intègre son jeune frère, le génial guitar hero Angus Young. Le début de l’aventure. L’histoire veut que ce soit la femme de Malcolm (décédé en 2017) qui trouva le nom de la formation, en voyant les lettres « AC/DC » inscrites sur sa machine à laver.
En 1974, le groupe basé à Melbourne, prend d’abord Dave Evans, puis Bon Scott, chanteur d’AC/DC pendant six ans. A son décès en 1980 à Londres il sera remplacé par l’Anglais de Newcastle, Brian Johnson. Sa voix bizarrement éraillée fera pourtant la gloire du groupe. En 2016, suite à des problèmes d’audition, c’est Axl Rose chanteur de Guns N’ Roses qui prendra sa place, avant que Brian Johnson ne revienne au micro d’AC/DC pour l’électrisant « Power Up », 17ème album au tempo implacable et aux riffs de guitare spectaculaires, sorti en novembre 2020. De quoi faire trembler les murs. Une soirée-canapé à consommer avec modération !