SÉRIE « PIPole » : « Capter le romantisme de la vie qui passe ? Se laisser surprendre par un éclat graphique inattendu ? Pointer la faillite d’une nouvelle rencontre et d’un nouveau carrefour de vie ? Sans doute un bouillon mal digéré de ces ingrédients ». Steven Paters.
L’oeil-caméra de Steven Paters explore la ville américaine, son vide existentiel et invite à un road movie photographique urbain
Le photographe Steven Paters vu par l’écrivaine Esther Maria:
« Le rythme des droites et des angles, l’espace urbain, ses couleurs, ses textures, son univers solitaire, tels sont les matériaux dont s’alimentent les œuvres de Steven Paters ici exposées. Ses clichés puissants captent le regard. Son réalisme singulier ouvre sur une poésie de l’absence, que seuls quelques passants semblent habiter. L’oeil-caméra de Steven Paters explore la ville américaine, son vide existentiel et invite à un road movie photographique urbain.»