LA REINE DE MA VILLE.
Votre majestueuse couronne d'ombre et de lumière vous sied à merveille. Ma reine inconnue.
Savez-vous que vous êtes devenue pour un instant la reine de la ville, la reine de ma ville ?
SÉRIE « PIPole » : « Capter le romantisme de la vie qui passe ? Se laisser surprendre par un éclat graphique inattendu ? Pointer la faillite d’une nouvelle rencontre et d’un nouveau carrefour de vie ? Sans doute un bouillon mal digéré de ces ingrédients. » Steven Paters.
L’oeil-caméra de Steven Paters explore la ville américaine, son vide existentiel et invitent à un road movie photographique urbain
Le photographe Steven Paters vu par l’écrivaine Esther Maria:
«Le rythme des droites et des angles, l’espace urbain, ses couleurs, ses textures, son univers solitaire, tels sont les matériaux dont s’alimentent les œuvres de Steven Paters ici exposées. Ses clichés puissants captent le regard. Son réalisme singulier ouvre sur une poésie de l’absence, que seuls quelques passants semblent habiter. L’oeil-caméra de Steven Paters explore la ville américaine, son vide existentiel et invitent à un road movie photographique urbain.»
LA REINE DE MA VILLE.
Votre majestueuse couronne d’ombre et de lumière vous sied à merveille. Ma reine inconnue.
Savez-vous que vous êtes devenue pour un instant la reine de la ville, la reine de ma ville ?
798 OMBRE DE LUMIÈRES.
C’est une histoire rare, un souffle de magie. Clic. L’image est déjà là alors que l’œil est absent. Qui fait l’image ? Une silhouette qui se dessine sur un visage peint en miroir. Un éclat de lumière qui vient souligner le regard. Qui fait l’image ? J’étais là mais ce n’était pas moi.
PLAY ? MOBILE ?
Comme un jeu ? Mobile ou immobile ?
C’est curieux comment un brouette dessine facilement une image. Etonnant non ?
L’HOMME À LA BROUETTE BLEUE.
Il est très tôt. Très très tôt. Il neige comme jamais auparavant. La ville n’est plus ville. L’homme à la brouette bleue adresse un défi aux éléments. Est-il en mission secrète ? Il doit le faire aujourd’hui, il doit le faire maintenant. J’adorerais avoir le courage de l’aider. Mais j’ai froid…
« L’HOMME A LA GUITARE ». Elle est bien là, sur son dos. Si si. Il faut bien « l’imagi-voir » ! Une vielle guitare Gibson ES-175 D Sunburst de 1963. Il joue bien le gars. Très bien même. Il adore sa guitare. Noire. Comme ce mur. Comme son costume de scène qu’il ne quitte que sur scène. A ce soir Cowboy.
UN MUR BLANC, UN CHIEN, UN HOMME & UNE OMBRE MAGIQUE.
Le titre est long… Tout est dit…
